Les Terreaux mis à nu
Le temple s’est ainsi dépouillé des pendrillons de tissu noir qui recouvraient le cadre de scène et les murs latéraux.
Pour la première fois en vingt ans, on peut ainsi apercevoir les vitraux, la haute chaire en bois et la fresque de Louis Rivier qui orne le fond de l’église. Cette dernière, peinte en 1928, représente le Christ en croix «dans une perspective qui n’est pas sans rappeler les œuvres de Dalì à la même époque», s’enthousiasme le directeur, Didier Nkebereza.
Celui-ci souhaite que les rénovations permettent de dévoiler plus facilement ces trésors à l’avenir. «Le projet initial consistait à mettre en valeur la polyvalence du lieu, je continue dans cette voie.»
Un goûter y sera organisé le mercredi 11 décembre, à 17h, occasion de voir l’avancée des travaux et la chapelle dans son état originel (inscription sur location@terreaux.org).
Les lieux de culte regorgent de surprises. Vous connaissez une bizarrerie ou une anecdote qui mériterait d’être connue?
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