Dans la région où il habite, Nicolas de Flue n'est pas le seul à vivre en ermite. Mais sa réputation d'abstinence totale de boisson et de nourriture - à l'exception d'une hostie de temps à autre - a fortement contribué à sa notoriété. Que sait-on de la vie quotidienne de cet homme qui, dès son jeune âge, s'est frotté aux pratiques ascétiques extrêmes?

Depuis quelques jours, dans plusieurs villes d’Israël, de violentes émeutes opposent les résidents des quartiers ultra-orthodoxes aux forces de l’ordre. Les autorités y ont imposé le confinement pour tenter d’arrêter la hausse exponentielle des cas d'épidémie.

La blogueuse tunisienne athée, Emna Charki, risque jusqu’à trois ans de prison ferme pour avoir partagé sur Facebook une photo comprenant un texte humoristique décliné sous la forme d’une sourate coranique.

Parce que Nicolas de Flue est analphabète, les images jouent un rôle très important dans sa spiritualité. De jour, sa méditation est centrée sur une œuvre accrochée au mur de son ermitage, un schéma imagé de la foi trinitaire. De nuit, il vit de nombreux songes révélateurs de sa vie spirituelle. Comment ces images s'articulent-elles? En quoi sont-elles emblématiques de la spiritualité de son époque?