Partir entre deux contrats
18 décembre 2000
Pour la comédienne, il n’a pas été facile de concrétiser son projet d’échange volontaire
Participant à une journée d’information organisée à Bienne sous l’égide de la DDC (Direction pour le développement et la coopération suisse) Laurence Montandon-Rochaix réalise que la plupart des organisations humanitaires demandent un engagement de deux ans minimum : beaucoup trop contraignant pour son statut de professionnelle. C’est à la faveur d’un contact avec le DM-Echange et mission, un service des Eglises protestantes romandes qu’elle trouve un appui pour concrétiser son séjour à Madagascar. Avant de reprendre en janvier une pièce d’Eugène O’Neill, à Lyon, Laurence Montandon-Rochaix a donc pu réaliser une forme d’échange de courte durée, à la mesure de ses possibilités.