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«Divine chromatie», de Philippe Fretz, s'inspire de la «Divine comédie» de Dante. Un voyage de l'enfer au paradis en passant par le purgatoire.
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Le récit du voyage de Dante dans l'au-delà prend place dans un paysage genevois contemporain.
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Les trente-trois toiles forment un mur d'images de onze mètres sur quatre.
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«Le rôle central de la lumière m’a fasciné dans ce poème. Elle est la source créatrice qui contient la diversité du monde», explique Philippe Fretz.
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Philippe Fretz: «Le chemin vers le paradis traverse d’abord l’enfer. Il y a un passage par une tragédie assumée. C’est toute la force du message chrétien: nos blessures sont prises en compte, elles sont notre matière première.»
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L'exposition «Jérusalem», de Philippe Fretz, revisite la Cité céleste décrite dans le récit biblique de l'Apocalypse.
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Les douze portes de la ville sont représentées par des réalités terrestres: «Se laver, manger… J’y peins douze gestes du quotidien. Le paradis est représenté dans un rapport au présent.»
Les couleurs du paradis de Philippe Fretz
Dans ses deux expositions «Divine chromatie» et «Jérusalem», le peintre genevois Philippe Fretz nous plonge dans les thématiques bibliques, jusqu’au mois de décembre.